Prévention des risques sociaux, discrimination et exclusion des communautés
Exploitation sexuelle des enfants et des adolescents associée aux voyages et au tourisme
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Il s’agit de l’offrande et/ou de l’utilisation sexuelle d’enfants par des personnes qui voyagent d’un pays à un autre, ou entre des villes d’un même pays.
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Les opérateurs utilisent les installations offertes par l’industrie touristique (hôtels, bars, discothèques, etc.).
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Ces activités criminelles d’exploitation sexuelle sont organisées de manière informelle entre amis ou collègues, pédophiles ou non, et dans certains cas avec la participation d’agents de voyage, de guides, de chauffeurs de taxi, entre autres, qui sont directement et indirectement impliqués.
Campagne de la Fondation Renacer
Racisme, discrimination, exclusion professionnelle et segmentation sociale
Le tourisme est un phénomène social qui attire des millions de personnes dans le monde entier pour visiter différentes parties du monde, dans de nombreux cas lors de ces rencontres entre les touristes et les communautés locales, un impact négatif est généré par la main de comportements racistes et discriminatoires de la part de personnes qui voyagent sans respecter les conditions sociales et culturelles du site. générant un malaise et une méfiance chez ses habitants, ainsi que de la part du local envers le voyageur
Discrimination à l’égard des personnes handicapées
La loi 1752 de 2015, de par son objectif, envisage le handicap en déclarant qu’elle vise à « punir pénalement les actes de discrimination fondés sur la race, l’appartenance ethnique, la religion, la nationalité, l’idéologie politique ou philosophique, le sexe ou l’orientation sexuelle, le handicap et d’autres raisons de discrimination ».
Avec la loi 1752 de 2015, le Code pénal dispose d’un article 134A, qui stipule que toute personne qui entrave, entrave ou restreint arbitrairement le plein exercice des droits des personnes en raison d’un handicap, encourra une peine d’emprisonnement de 12 à 36 mois et une amende de 10 à 15 salaires mensuels minimums légaux en vigueur.
Il a également incorporé l’article 134B dans le Code pénal, qui punit le harcèlement fondé sur le handicap, en stipulant que quiconque encourage ou incite à commettre des actes, des comportements ou des comportements constitutifs de harcèlement, visant à causer un préjudice physique ou moral à une personne, à un groupe de personnes, à une communauté ou à des personnes, sur la base du handicap, est passible d’une peine d’emprisonnement de 12 à 36 mois et d’une amende de 10 à 15 fois le salaire mensuel minimum légal en vigueur.